Pour mieux comprendre notre article, nous allons vous définir ce qu’est l’empreinte carbone :
C’est l’ensemble des émissions de gaz a effet de serre induites par l’activité humaine, calculées en Tonnes d’équivalent de CO2 par an. Ce calcul prend en compte : les aliments que nous mangeons, la production des biens que nous consommons, le carburant de nos véhicules et leurs consommations d’énergies à la maison.
Cet article se base sur la population Parisienne:
Paris produit environ 22,7 Millions de tonnes de CO2 par an, soit 10,3 tonnes de CO2 par Parisien-ne.
Si les Parisien-nes remplacent la voiture par le vélo ou la marche, cela réduirait de 1,5 tonnes de CO2 par an, de plus, des aides financières sont mises à dispositions pour les personnes afin d’inciter les déplacements respectueux dans la capitale.
Mais ce n’est pas la seule solution pour réduire les émissions de CO2, en effet, limiter les trajets en avions pourrait réduire considérablement l’empreinte carbone de notre population.
En effet, si nous prenons les chiffres de 2017 de L’ASN, 36,8 Millions de trajets on eut lieu courant 2017, si nous prenons l’exemple d’un aller retour Paris – New York, cela représente 1,8 tonnes x 36 800 000 Millions soit 66,24 Millions de tonnes de CO2 par an, ce qui représente presque 3 fois ce que la ville de Paris produit par an.
Quelques actions simples que vous pouvez mettre en place dans votre vie de tous les jours :
– Comme évoqué ci-dessus, changer votre moyen de transport au quotidien aurait un impact très positif s’il était reproduit à échelle mondiale,
– Réduire le gaspillage alimentaire, et même réduire sa consommation de viande peut œuvrer pour réduire l’empreinte carbone de l’homme chaque année,
– Pour finir, adopter des gestes écologiques (éteindre les lumières lorsqu’on quitte une pièce, prendre des douches courtes, ne pas utiliser le chauffage ou la climatisation sans réelle raison).

Ces gestes sont simples à mettre en place et ne changeront pas votre mode de vie, mais faire attention à ses modes de consommations peuvent déjà être de bons points dans l’avancé pour la réduction de l’empreinte carbone.
Il faut absolument prendre des mesures à grandes échelles le plus vite possible, il est peut-être même trop tard pour se réveiller, mais la survie de notre espèce dépend de notre réactivité et de notre implication.
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